(/je propose cette histoire là mais si elle ne plaît pas, elle peut toujours être modifié mais à m'en parler avant de le faire svp. )
Ma vie est un cheminement de plusieurs aventures, de faits, de destins. Car oui je crois au destin du moins je croyais, en l’amour, en l’avenir qui m’est réservé. Je savais que dès le jour ou j’ai été conçue que je devrais être là où je suis, passé par les épreuves que j’ai dû traverser tout au long de ma vie. Et je suis encore loin d’arriver au bout du tunnel. Je sais que la route est longue, que je dois encore vivre pleins de choses, faire des nouvelles rencontres, visiter de nouveaux endroits, vivre des instants magiques et uniques. Ma vie ne peut pas s’arrêter, mes parents compte sur moi pour que je me batte, pour que je ne baisse pas les bras. Je suis une battante, une winner. A chaque fois, qu’elle faiblit, moi je gagne. Est-ce le destin que de faire souffrir les gens ainsi ? On a l’impression que c’est toujours les mêmes qui subissent, comme si la foudre s’abattaient sur eux. Alors que certains rayonnent de bonheur sans jamais une seule ombre dans leur vie. Mais j’ai appris à relativisé, malgré quelques frayeurs et la peur de me voir disparaitre, mes parents sont heureux. Je suis fille unique du moins jusqu’à y a pas longtemps ou mes parents on découvert que leur premier enfant était toujours en vie. Ils l’ont eu très jeune, un garçon. Ne pouvant pas s’en occuper, ils le firent adopter croyant que ce serait ce qu’il y avait de mieux à faire pour lui. Je suis contente pour eux, ils méritent de le connaître, et puis si je venais à disparaître, je sais qu’ils auront encore mon frère retrouvé comme enfant. Un cheminement de faits, je vous l’avais dis. J’ai confiance en mes parents, ils sont forts et peuvent surmonter pleins de difficulté ensemble comme ils l’ont fait jusque là. Nous sommes une famille unies à présent, et je sais que quoiqu’il arrive, ils seront toujours là pour moi. Je veux me battre jusqu’au bout. Je ne me laisse pas faire, je vis au jour le jour. Je m’appelle Liberty XXXXX McCarthy et les médecins ont détecté chez moi, à l’âge de quatre ans, une maladie chronique.